jeudi 21 mai 2020

Sale habitude de garder nos portes fermées, de dresser des barrières opaques entre nos jardins, de redouter le regard de l'étrangère.er. Bonne habitude d'ouvrir nos portes régulièrement, de créer des passerelles entre nos mondes, de considérer l'autre non plus comme l'étranger.ère mais comme l'ami.e probable. Je ne dis pas que nous devrions être toujours disponible à l'autre, mais que lorsque nous allons bien nous ne devrions pas cloisonner les espaces par morne habitude. Comment ne pourrait il pas demeurer quelques limites à nos interactions si nous perpétuons de symboliques défenses sans même y penser? M'est avis.

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